La période de confinement qui a commencé la la semaine dernière est partie pour durer plus que les 15 jours annoncés. Les conséquences directes de cette mesure vont impacter plus durement les personnes précaires, et rendre encore plus criantes les inégalités.
Ces dernières années, à travers le centre social autogéré l'Attiéké et celui de la Poterie, qui ont aujourd'hui fermé, le collectif est rentré en contact et est encore en lien, avec des dizaines de personnes, qui vivent aujourd'hui en situations de mal-logement, dans des hôtels, dans différents squats dans les villes alentours. Une grande partie de ces personnes travaillent au noir, sont des femmes seules avec enfants en bas-âge, sont des intérimaires laissés sur le carreau, etc.
De grosses courses ont été faites, des récups partagées, etc.
Mais pour que malgré tout la solidarité puisse continuer et s'organiser, que le confinement ne signifie pas la mort de toute action politique collective, il y a besoin de fonds.
Nous avons besoin de votre participation ! N'hésitez pas à faire tourner.
Des membres du collectif Attiéké